
Au commencement, tous les hommes étaient égaux, mais les péchés d’Adam et Ève ont condamné l’humanité à vivre dans le monde terrestre. L’envie et la convoitise apparurent, et la force triompha du droit. La chevalerie fut institué pour empêché l’injustice et défendre les plus faibles. Un homme sur mille (mille electus en latin), le plus fort, courageux et loyal fut choisi pour devenir chevalier (miles). Il lui fut octroyé un cheval, la plus noble des bêtes, des armes et une armure. Il lui fut donné un écuyer pour le servir, et il fut placé au-dessus des gens ordinaires qui devraient labourer, et nourrire le chevalier. Depuis lors, il est de son devoir d’entraîner son fils sur cette noble voie et l’institution s’est perpétrée. Judas Macchabée et le Roi David furent de ceux-ci.
Le Duc Paradoxe : source de la Chevalerie
Le Duc Paradoxe a redonné vie à l’ordre de chevalerie en rappelant à tous les origines anciennes et sa mission sociale sacrée. Il a rappelé que le Duc est à l’origine de toute chevalerie, et s’est engagé à fournir le plus brillant exemple de ce qu’un chevalier peut et devrait être.
Le Duc Paradoxe a aussi fourni le moyen à tout chevalier de relever le défi de cette nouvelle chevalerie en instituant l’ordre des Compagnons du Duc Paradoxe.
La participation était volontaire. Un chevalier devait se rendre jusqu’à l’endroit où Le Haut Duc tenait sa fête de la Pentecôte, et participer à une messe en jurant de respecter sa position de Compagnon, et en prêtant allégeance au Duc Paradoxe. La loyauté étant la première vertu de la chevalerie, cette allégeance était plus forte que les devoirs du chevalier envers son Seigneur.
Tout chevalier qui avait prêté le serment du Compagnon pouvait dire sans réserve qu’il était « un chevalier du Duc Paradoxe »
La Garde de Malrrolias
La Légende est morte, mais les idéaux demeurent, et les rares Compagnons qui survécurent jurèrent de ne jamais laisser mourir cette ordre. Ils était bien peu, en effet, ceux qui pouvait encore se saluer à la manière des Compagnons :
- « Êtes vous l’un des hommes de Paradoxe ? »
- « Si fait, je suis un Compagnon. »
Laissant la place de dirigeant vide, à la mémoire du Haut Duc, les survivants se jetèrent dans les batailles qui suivirent. C’est ainsi, que périrent la plus grande partie d’entre eux, faisant honneur aux vertus de la chevalerie.
Mais si les chevaliers étaient mort, ou trop vieux, ils ont su transmettre leur savoir, leurs idéaux à leur décendants.
Seul un miracle pouvait les faire se rencontrer, seul un miracle pouvait redonner vie à la Chevalerie, la Lumière de Camelot veille encore, puisque cela à lieu.
Les vertus d’un Garde de Malrrolias
Un candidat doit connaître la chevalerie, ses vertus et les faire siennes ! Il se doit d’être énergique, généreux, sincère, juste, miséricordieux, modeste et valeureux. Il doit agir par passion, être le plus loyal des hommes, avoir un sens de l’honneur aigu et connaître le fin amor (amour courtois).
Les valeurs d’un Garde de Malrrolias.
D’une manière général, les Gardes de Malrrolias suivent les valeurs de leurs époque, de sa condition de chevalier, de ses ambitions de courtoisie et de Romance. C’est pour cela que nous allons détaillé, bien que cela soit un peu arbitraire et limitatif, quels valeurs ou idéaux sont liés à quelle composante du Garde de Mallrolias.
La chevalerie est un honneur extraordinaire et rare.
Aussi, tous les membres des Gardes de Malrrolias ne sont pas chevaliers, il le deviennent après avoir démontré leurs connaissances, compétences et valeurs. Mais qu’il soit page, écuyer ou chevalier, il ont en commun leur envie de suivre cette idéal !
Les coutumes ancestrales
Ses lois sont reconnues et suivies dans tous Albion. Ce sont les loi non écrites de loyauté, amour de la famille, de l’hospitalité et de l’honneur. Celles-ci sont également respectés entre ennemis, bien qu’elle peuvent être à l’origine de drames incurables. Tout manquement à ses règles est souvent sanctionné par ceux qui les suivent, mais aussi par les puissances qui veillent sur les hommes.
L’Hospitalité
La maison d’un homme est sacro-sainte. Cette règle est valable pour tout homme, qu’il vive dans une humble masure ou un puissant château. Personne n’est obligé d’inviter une personne chez lui, mais s’il le fait, alors aucun des deux hommes n’a le droit d’offenser l’autre, de quelconque manières.
La Famille
Le dernier bastion sur lequel on peut compter est notre propre famille. Celle ci sera toujours présente, et nous nous devons de l’être pour elle, quoi qu’il arrive.
La loyauté
La loyauté est reconnue comme base de toute société en dehors de la famille. Tout le monde, sauf les fous est loyal envers quelqu’un. Elle est aussi la base de l’organisation militaire et une condition de survie sur un champ de bataille.

La loi
Les chevaliers sont gendarmes, juges et jurés dans tous les cas de basse justice dépendant de leurs propres terres. S’il sont sur les terres de leur Seigneur, il agissent en son nom.
L’honneur
Ce sens est une des choses qui distingue un chevalier du commun des mortels. Sans honneur, un serment est sans valeur, et la parole d’un homme vite retirée. L’honneur inclut le code personnel d’honnêteté de fierté et de dignité.
La Courtoisie
Les gens courtois se reconnaissent à leurs idéaux, leur conduite et leur réputation. Cette attitude se mesure dans des trait de personnalité très marqués.
Ils se doivent d’être vigoureux, toujours prêt à entrer en action, généreux car ils sont bienveillants, juste dans leurs décisions, miséricordieux, prêt à aider leur prochain et connaissant la pitié, modeste, car ne cherchant que la gloire méritée, et valeureux, bravant les risques pour atteindre leurs buts.
La vertu
Notre Foi en la Lumière nous enseigne son lot d’attitude à adopter. La luxure doit nous être étrangère, nous devons savoir pardonner, et ne pas succomber aux plaisirs de complaisance. De plus, l’Église insiste aussi sur notre modestie et notre miséricorde
