Forum Amtenaël

Copie des écrits du scribe Elsathorne,

Par le scribe Flaisus, de l’an de grâce 982 de l’ère du retour
Scribe non noble sans bien.

Note personelle : Mon seigneur Anathorne désirant connaître l’histoire de son plus lointain ancètre Orethorne (fondateur du pays d’Oréthorne aujourd’hui disparu), et traduire les documents trouvés dans les ruines du Gouffre d’Arithorne en langue commune, mon travail est loin d’être terminé mais voilà ce qui en est.


Je me nomme Elsathorne, et je vis en cet an de Grace 521 a Isliath. Cette dernière est une ville fortifiée, édifiée selon les légendes sur les lieux ou débarquèrent les premier colons: la ville des forgerons mais aussi connue pour accueillir la plus grande des bibliothèques du pays d'Oréthorne.

Ce lieu de résidence n'est pas choisis au hasard, car je suis scribe (ancien métier aujourd’hui oublié), j'entretiens le souvenir du passé et tente par mes écrits de diffuser le vrai savoir.

Le scribe en ce royaume a atteind un rang très élevé, par la volonté des seigneurs locaux de posséder le savoir, mais aussi parce que le pays d'Orethorne est le seul à ne posseder de religion.

Je m'explique. Le peuple d'Orethorne contrairement au peuple païen et primitif ne vénère de dieux. Leur passé leur a montré que leur survie ne dépende d'aucun dieux mais seulement de leur force et de leur volonté.

Ils ne possèdent de temple ou de lieu de culte, mais en échange ils ont développé un sens de la famille très poussé et entretiennent avec ferveur l'histoire de leurs ancètres. Et leurs bibliothèques sont réputées aussi vielles que le temps.

Depuis toujours ils retiennent les faits importants. Aucune guerre, famine, épidémie, couronnement ne leur est inconnu.

Ce peuple se trouva vite contraint de rassembler tout ce savoir si précieux. Voila comment, nous les scribes, nous sommes apparus: le peuple choisit les meilleurs narreur possédant le plus de savoir et les désigna comme scribes.
Le scribe chez nous a le même statut qu'un prêtre ou un prophète dans les autres cultures sauf qu'aucun d'entre eux ne revendiquent le pouvoir de connaitre les dieux.
Le métier de scribe se transmet de génération en génération, il est très rare de voir des femmes scribes bien qu'elles soient les plus douées dans ce domaine.
Les scribes peuvent être choisis parmis le peuple et les meilleurs d'entre eux sont anoblis. Comment reconnaitre un scribe noble ? Cela est simple comme tout mais cela n'est pas le sujet de mes écrits.

J’ai travaillé d’un dur labeur pendant des années et des années pour rassembler les connaissances du premier age qui sont encore sombres aujourd’hui mais mon dur labeur fut récompensé.

Je vais vous raconter l’histoire d’Orethorne le grand, surnomé l’Aigle roi…

On ne connait sa véritable histoire, on ne peut savoir la version véridique des faits, qui il était vraiment car lui-même fut une légende vivante, une légende de l'age sombre qui traversa siècles et millénaires pour arriver à nos oreilles. Son nom ne fut mentionné que dans quelques rares livres jalousement gardés mais détruis pour la plupart par les ravages du temps. Ce qui fut sauvé, je vais vous le transmettre, pour moi aussi accomplir ce travail de mémoire, voici l'histoire d'Orethorne, l'aigle roi....

Il y a plusieurs millénaires, quand le monde n'était ce qu'il est aujourd'hui, dans ce que nous appelons l'âge sombre, car hélas peu d'information nous ont été apportées de ce temps à nous les scribes, ce trouve à plusieurs milles d'Amtenael un continent du nom Isniliur, isolé par le vaste océan bleu du reste du monde celui présentait de vaste diversité géologique, en effet il était si vaste que rien que climat change du bout a l'autre de celui-ci. Au dessus le climat était fort chaud et humide, de vaste forets de chênes, hêtres, châtaignés.... couvraient les terres peuplées, divisées par ici et par la de puissant fleuve.
Plus on montait vers le nord, plus le paysage se trouvait changé, en remontant les fleuves qui coulaient du haut des montagnes les forêts cédaient du terrain à de vaste plaine d'herbe verte pour ensuite laisser place à des collines, puis au centre du continent une gigantesque chaîne de montagne, après ce point la vie était très rude, lacs et rivières gelés en hiver tel de vaste miroir étincelant au travers de l'épais manteau de neige envoyait par les dominantes montagnes, une autre chaîne de montagne un peu plus au nord marqué la fin des terres ou la vie était encore possible.
Le gibier dans les terres du nord se faisaient rare, se terrant dans divers trous et grottes où se cachant pour mieux se protéger du froid dans de profondes forets de sapins plusieurs fois centenaire, trouver sa pitance était dur.

Comme je vous le disais ce continent était divisé par une sorte de frontière climatique, ce qui n'empéchait pas que tous les fleuves et rivières partaient d'un seul point précis, elles coulaient à partir de la titanesque montagne qui se trouvait au centre du continent, elle fut formée par la rencontre lors de la création du monde de ce qui était à l'époque deux continents, de cette union naquit la plus haute montagne que le monde eu à porter divisant le continent nouvellement naît en deux blocs tel une haute muraille imprenable.
L' Aréas ene l'appelait-on, ou bien en langue commune le pic blanc, blanc de l'éternelle neige qui la couvrait lui rendant cet air solennel et abreuvant fleuves et rivières partant de son sein pour formait les artères du continent et lui donner la vie.
Les eaux coulaient de cet montagne soit ver le nord soit ver le sud, dévalant les flancs de la montagne tel de puissant chevaux implacable, puissant et fougueux a qui rien ne pouvait arrêter formant sur leur passage de magnifique, maintes fois cité dans les chant des Elfes pour leur incroyable élégance et beauté, donnait rêves a ceux qui ne les avaient vus et éternelle souvenir pour ceux a qui leur yeux avaient eu la chance de s'y poser.
Un homme du haut de ces montagnes aurait pus a l'aide d'un petit bateau ou d'une barque ( si il était assez agile pour survivre a une chute d'eau ) aller sur n'importe qu'elle lieu de la carte du continent, aussi bien au nord que au sud si sa patiente lui permettait d'effectuer le trajet, le sud lui offrait plaines plane au vielles forets de chaînes du climat chaud, le nord de nombreuse collines, de grand et profond lac ainsi qu'une sorte de toundra et encore plus au nord une autre chaîne de montagne encore plus froide et meurtrière, bref le nord lui offrait que désolation, pourtant ce sont les régions du nord qui nous intéresserons car s'est en ce lieu que notre histoire commence, une grande histoire.




En ce vaste continent seul les régions du nord de la barrière de l'Aneas ena étaient peuplé, les populations se concentrent précisément au sud de la chaîne de montagne de l'extrême nord qui marquait la fin des terres habitable et le début du désert de glace, le peuple vivant en ces lieux vivait dans des conditions extrêmement difficile, dans le plus grand des froids ce qui donne cette particularité à ce peuple. Ils n'étaient encore peuple d'Orethorne ou Oréthornien car celui ci ne fut venu encore, s'étaient en fait un peuple nordique, fier et fort comme le sont tout les nordiques, des hommes au yeux bleu et a la longue chevelure tirant sur un blond de blé étant coiffé en tresse pour la plupart. Ils ne craignaient le froid étant tout simplement vêtu d'une mince fourrure ou bien, pour les plus résistant torse nuu.
Ce peuple vivait dans 3 villes principal, Carn, Lieonas et Tur (les villes sur la cartes date de l'air 3, bien après la venue d'Orethorne ) des villes fortifiées aux murailles de pierre et au tour de bois situé au pied même des montagnes abritant la majorité de la population eux même entouré par de nombreux villages constitué de bois au maison de paille et de chaume.
Carn était la plus grande des villes du nord mais aussi la capitale du royaume nordique, taillée dans la pierre elle semblait puissante et indestructible, elle montait vers les cieux pour former une tour, au centre de la cite se trouvait la tour dominant les autres qui lui servait de contreforts, tout dans la cité avait été bâtis pour la tour, la tour était la seul véritable raison de son existence, la large muraille d'enceinte servait de contre fort a de petits bâtiments, qui eux servaient de contreforts a des tours puis a la tour principale.
Cet édifice ne fut façonné de mais f'hommes, aucun hommes tel qui soit n'aurait pus batir tel édifice, elle venait sans doute d'un autre temps aujourd'hui helas oublié.

La cite grouillait de personnes, allant et venant dans les sombres ruelles pour aller a leur destination, ou sur les ponts de pierres reliant les tours les une entre elle, la citée était telle qu'on trouvé les différents stade de la hiérarchie en la montant, le petit peuple ce retrouvai au pied des murailles tendis que la haute noblesse se trouvaient a son sommet. Au sommet de la plus haute tour ce trouvait un conseil des anciens, tenus par les sage du royaume pour but de faire respecter l'ordre et la paix en leur sage décision, en leur règne les temps étaient prospère, nul conflit ne prenait place et justice équitable était faite, les villes ne cessaient de s'accroître contenant toujours une population plus nombreuse et riche, les arts tels la musique ou les lettres étaient répandu.
Mais voila, ce temps était révolu, depuis le funeste jour ou 3 créatures se présentèrent au pied de la cité, elles étaient de morphologie humais, bien que leur taille doublait celle des hommes, elles se présentèrent sous des trait agréable, leur parole avait le pouvoir de séduire les hommes qui ne savaient y prendre garde, elles se présentèrent un jour de elenes de 11 eme cycle au porte de cité, un guerrier en tunique celte vient lui parler:

- holà étranger !! Que faite vous devant les portes de Carn ?
- le plus grand s'avança d'un pas, je me nome Knor fils de Thor, et voici mes demi frères Galin et Eurf fils de Odin, nous sommes demi dieux, et nous venons de la part de nos pères, dit a tes chefs que nous venons en paix et que nous avons un grand présent a offrir a ton peuple.

L'homme ce précipita vers la cité sans leur répondre, en quelque instants toute la population apprirent que les demi dieux se tenaient a leur portes, que de grand événement allaient ce produire.
Le lieutenant ce précipita au baraquement de son clan, une bâtisse en pierre blanche, quelque instant il en sortis des écuries monté sur un cheval rapide et puissant, il dévala les rues en direction de la tour, passant par les minces ruelles puis les escalier des pierre, traversa les ponts de pierre reliant les tours, renversant tréteau des humbles marchands provoquant cris de terreur ou bien de colère, il monta encore un escalier de pierre pour déboucher sur une sorte de pont levis de bois, en bois certes mais gigantesque ! après avoir traverse la porte relève de sa herse défendant la cite du milieu au temps de guerre, le cavalier descendit de son cheval car le chemin qui s'offrait a lui n'était plus accessible pour des bêtes allant a quatre pattes, il rentra dans une tour pour y monter a son somment depuis l'escalier en colimaçon, el la au somment de cette tour un massif pont de pierre la relie a la tour, la tour principale, le pic, a ce point il était déjà a une centaines de mettre au dessus du sol, un vue incroyable s'offrait a lui, mais le temps n'était pas a cela, il passa sous la grande arche de pierre qui semblait être sculpte pour des géants, après cela il était dans la tour.........