Journal d'un frère
Posted: 19 Mar 2008, 11:58
Les lettres inscrites sur le papier étaient légèrement écaillées et quelques gouttes de sang tachaient le papier usé. Signe de souffrance infinie, l’écriture contenait quelques lacunes graphiques.
Mon frère…
Je suis a mon plus mauvais point malgré avoir semée la garde. La somme volée n’est pas bien grande mais nous permettra de tenir quelques mois de plus. Je pense être blessé à la jambe et au niveau de l’épaule, mais je survis en pensant à ton bonheur à mon retour. J’aimerais être là dans une petite dizaine de jours, mais rien n’est certains. Te rappelles-tu des beaux jours ? Nos parents, notre maison de compagne…Tibi, tu te souviens ? Notre chien berger. Les courses déchainées dans le grand jardin. Bientôt nous pourrons reprendre nos activités.
Je repense à ces merveilleux souvenirs et me force à nous venir en secours. Je rebrousserais les gens que j’ai volé, il suffit de nous lancer, nous trouver un travaille et reprendre une vie normal. Je reborde d’idées bénéfiques à en oublier mes douleurs. Je pense que la garde me lâchera d’ici ce soir, pendant ce temps je me cacherais dans une étable.
Bientôt nous pourrons nous aussi dormir sous un toi,
Ne perd pas confiance mon frère.
Arthur.
Mon frère…
Je suis a mon plus mauvais point malgré avoir semée la garde. La somme volée n’est pas bien grande mais nous permettra de tenir quelques mois de plus. Je pense être blessé à la jambe et au niveau de l’épaule, mais je survis en pensant à ton bonheur à mon retour. J’aimerais être là dans une petite dizaine de jours, mais rien n’est certains. Te rappelles-tu des beaux jours ? Nos parents, notre maison de compagne…Tibi, tu te souviens ? Notre chien berger. Les courses déchainées dans le grand jardin. Bientôt nous pourrons reprendre nos activités.
Je repense à ces merveilleux souvenirs et me force à nous venir en secours. Je rebrousserais les gens que j’ai volé, il suffit de nous lancer, nous trouver un travaille et reprendre une vie normal. Je reborde d’idées bénéfiques à en oublier mes douleurs. Je pense que la garde me lâchera d’ici ce soir, pendant ce temps je me cacherais dans une étable.
Bientôt nous pourrons nous aussi dormir sous un toi,
Ne perd pas confiance mon frère.
Arthur.