Vérités sur les Oréthorniens.
Posted: 12 Oct 2007, 09:48
Vérités sur les Oréthorniens.
Les Oréthorniens avaient durant cette sombre époque placée un énorme fond d’énergie à faire face à l’harcèlement de l’ordre des Croisés, soutenue de plus par des Ténébreux qui suite à de mauvaises paroles du Roi, vexés selon les Oréthorniens étaient rentrés en guerre. Un bon nombre d’Oréthorniens et non les moins connus, comme la comtesse Faith et le capitaine Serdadjan de la même Maison étaient tombés au combat laissant leur seigneurie dans la déroute la plus complète. Le Roi, pris d’une extrême nécessité de peur qu’une guerre fratricide explose au sein de ses vassaux, avaient écartés en partie les commandements des derniers seigneurs, agrandissant un pouvoir déjà pesant.
Les Oréthorniens se mélangeant entres eux, moins concentrés sur les fiefs de leurs suzerains bien que toujours identifiés à leurs seigneuries, n’avaient pas réalisés l’effet escomptés relançant par ce brassage une volonté créatrice.
Les rangs Oréthorniens commenceaient à s’élargir, dépassant en taille les divers ordres. La violence des combats s’atténuant avec le dépeuplement massif des royaumes d’Avalon, pouvaient être un facteur d’accroissement naturel pour cet ordre particulièrement sédentarisé. Les faits étaient là.
La situation s’améliorant pour le peuple Oréthornien avaient donné confiance au Roi, dont la noirceur habituel depuis le départ de sa compagne (et mort ?), la reine des Bellatores Nausicaa, finissait pas s’estomper laissant place à un état nouveau… Peu être inspéré de l’amertume des actes passés.
C’est dans ce contexte politique, voyant au loin un nouvel age d’or apparaître qu’Anathorne le tyran comme on disait d’une part, ou Anathorne le bon comme on disait de l’autre que celui-ci prit l’initiative sans consulter les siens d'écrire ce qui suit.
" Moi Anathorne de Carn, suzerain des Oréthornien, défenseur d’Albion désormais.
Vous écrits à vous Croisés, afin de vous proposer pour la dernière fois une réconciliation. Cette guerre n’à que trop durée, sachez que ces mots ne sont la représentation d’une volonté s’amenuisant, mais de la prise de conscience de tout ces éléments néfastes aux peuples qui nous sont impartis, Oréthornien et Albionais.
Je vous invite à reprendre vos rôles de religieux, a continuer à prêcher la parole de dieu en Albion tant que celle ci n’est imposé. Un moine ne devrait porter l’arme, nous autres seigneurs, sommes là pour ces questions.
Mous ne laisserons cependant en vos mains le commandement de l’armée, la prise de décisions qu’ils soient exécutifs ou économiques, nous ne partirons de ces terres ou les miens ont versés un sang trop abondant. En osant brûler nos fiefs en Nyr Hibernia, vous vous etes vous même condamné à une présence Oréthorniène constante en Albion. En tentant de nous amenuiser, vous avez augmentés le nombre d’Oréthorniens en Albion divisé par avant par un territoire présent sur deux continents.
En refusant d’envoyer le moindre diplomate me rencontrer, en brûlant des terres ou des femmes et des enfants vivaient en paix les condamnant à la douleur des flammes, en poussant le conflit sur le royaume d’Albion doublement meurtrié pour son peuple, vous vous etes disqualifiés de vos prétentions accaparant l’ego que vous aimez tant m’assigner à la parole du tout puissant.
Mais Oréthorne, un homme et non un dieu païen comme j’ai entendu de la bouche de vos théologiens, prône le pardon, à la rémission des péchés « A celui qui sait pardonner, lui sera pardonner » je me plierai à sa sagesse qui dépasse mon entendement. Je recueillerai votre absolution.
Je vous invite à retourner en vos foyers, ranger les armes à défaut des livres saints devant représenter pour les serviteurs de dieu l’unique inspiration, l’inspiration divine. Prenez votre place dans le pouvoir juridique aux cotés des nôtres, car je pense, que vous n’êtes dénués de tout raisonnement logique.
Si vous décidez de continuer la guerre, continuant à brûler les maisons de ceux qui ont le malheur ne serait-ce que de nous soutenir par la parole ; ayant été sacré directement par le concept physique de la lumière auquel nous sommes attachés, Bélanos, je puis puis vous dire que ces actes ne sont dignes de ceux qui se disent serviteur du grand concept et vous coûtera cher dans cette vie ou dans une autre.
Je ne suis dans la confidence du tout puissant, je ne puis connaître ses desseins contrairement à ce que votre pape prétend, mais mes paroles concernant la grâce de dieu : Si j’y suis, qu’il m’y garde, si non, qu’il m’y mette."
Les Oréthorniens avaient durant cette sombre époque placée un énorme fond d’énergie à faire face à l’harcèlement de l’ordre des Croisés, soutenue de plus par des Ténébreux qui suite à de mauvaises paroles du Roi, vexés selon les Oréthorniens étaient rentrés en guerre. Un bon nombre d’Oréthorniens et non les moins connus, comme la comtesse Faith et le capitaine Serdadjan de la même Maison étaient tombés au combat laissant leur seigneurie dans la déroute la plus complète. Le Roi, pris d’une extrême nécessité de peur qu’une guerre fratricide explose au sein de ses vassaux, avaient écartés en partie les commandements des derniers seigneurs, agrandissant un pouvoir déjà pesant.
Les Oréthorniens se mélangeant entres eux, moins concentrés sur les fiefs de leurs suzerains bien que toujours identifiés à leurs seigneuries, n’avaient pas réalisés l’effet escomptés relançant par ce brassage une volonté créatrice.
Les rangs Oréthorniens commenceaient à s’élargir, dépassant en taille les divers ordres. La violence des combats s’atténuant avec le dépeuplement massif des royaumes d’Avalon, pouvaient être un facteur d’accroissement naturel pour cet ordre particulièrement sédentarisé. Les faits étaient là.
La situation s’améliorant pour le peuple Oréthornien avaient donné confiance au Roi, dont la noirceur habituel depuis le départ de sa compagne (et mort ?), la reine des Bellatores Nausicaa, finissait pas s’estomper laissant place à un état nouveau… Peu être inspéré de l’amertume des actes passés.
C’est dans ce contexte politique, voyant au loin un nouvel age d’or apparaître qu’Anathorne le tyran comme on disait d’une part, ou Anathorne le bon comme on disait de l’autre que celui-ci prit l’initiative sans consulter les siens d'écrire ce qui suit.
" Moi Anathorne de Carn, suzerain des Oréthornien, défenseur d’Albion désormais.
Vous écrits à vous Croisés, afin de vous proposer pour la dernière fois une réconciliation. Cette guerre n’à que trop durée, sachez que ces mots ne sont la représentation d’une volonté s’amenuisant, mais de la prise de conscience de tout ces éléments néfastes aux peuples qui nous sont impartis, Oréthornien et Albionais.
Je vous invite à reprendre vos rôles de religieux, a continuer à prêcher la parole de dieu en Albion tant que celle ci n’est imposé. Un moine ne devrait porter l’arme, nous autres seigneurs, sommes là pour ces questions.
Mous ne laisserons cependant en vos mains le commandement de l’armée, la prise de décisions qu’ils soient exécutifs ou économiques, nous ne partirons de ces terres ou les miens ont versés un sang trop abondant. En osant brûler nos fiefs en Nyr Hibernia, vous vous etes vous même condamné à une présence Oréthorniène constante en Albion. En tentant de nous amenuiser, vous avez augmentés le nombre d’Oréthorniens en Albion divisé par avant par un territoire présent sur deux continents.
En refusant d’envoyer le moindre diplomate me rencontrer, en brûlant des terres ou des femmes et des enfants vivaient en paix les condamnant à la douleur des flammes, en poussant le conflit sur le royaume d’Albion doublement meurtrié pour son peuple, vous vous etes disqualifiés de vos prétentions accaparant l’ego que vous aimez tant m’assigner à la parole du tout puissant.
Mais Oréthorne, un homme et non un dieu païen comme j’ai entendu de la bouche de vos théologiens, prône le pardon, à la rémission des péchés « A celui qui sait pardonner, lui sera pardonner » je me plierai à sa sagesse qui dépasse mon entendement. Je recueillerai votre absolution.
Je vous invite à retourner en vos foyers, ranger les armes à défaut des livres saints devant représenter pour les serviteurs de dieu l’unique inspiration, l’inspiration divine. Prenez votre place dans le pouvoir juridique aux cotés des nôtres, car je pense, que vous n’êtes dénués de tout raisonnement logique.
Si vous décidez de continuer la guerre, continuant à brûler les maisons de ceux qui ont le malheur ne serait-ce que de nous soutenir par la parole ; ayant été sacré directement par le concept physique de la lumière auquel nous sommes attachés, Bélanos, je puis puis vous dire que ces actes ne sont dignes de ceux qui se disent serviteur du grand concept et vous coûtera cher dans cette vie ou dans une autre.
Je ne suis dans la confidence du tout puissant, je ne puis connaître ses desseins contrairement à ce que votre pape prétend, mais mes paroles concernant la grâce de dieu : Si j’y suis, qu’il m’y garde, si non, qu’il m’y mette."