Forum Amtenaël

Je me nomme Diemfou, je suis originaire de la cité d’Albion ou étant enfant j’y ai appris l’art du maniement de l’épée. Arrivé un stade de maturité suffisante et faisant preuve d’un courage sans faille j’ai quitté les miens pour rejoindre une armée celle des Albaroths. J’y ai beaucoup appris, j’y ai perfectionné mes techniques, ma façon de combattre, ma respiration pendant que je combat, je suis devenu un chevalier exemplaire pour certain, simple pour d’autre. J’y ai rencontré des femmes, des hommes j’avais une vie que j’aimais tout allais pour moi en ce temps. Hala la, mais tout ceci est bien loin maintenant.
Aujourd’hui, je ne suis plus le même homme, ma vision du monde a changé, non pas sans raison, mais aujourd’hui je remercie cet évènement qui m’a fait ouvrir les yeux sur qui je suis vraiment ce que je possédais au plus profond de mes entrailles.
Un jour ou je revenais d’une mission que mon Seigneur Anathorne m’avait confié je fit une rencontre. Je m’en rappel très bien, c’étais un soir de pleine lune, un petit vent frisquet se levait, la première bise de cet été interminable qui amenait du nord un essaim de gros nuages noirs. La lune jouait à cache-cache avec eux, disparaissant soudain derrière eux pour resurgir l’instant d’après. Par la suite, les nuages bouchaient tout le ciel, et la lune se volatilisa. Néanmoins on sentait encore sa présence.
Soudainement j’entendis un bruit, je sortis mon épée de son fourreau et inspectais tout autour de moi. Je retenais ma respiration pour mieux entendre. Plus rien. Je rangeais donc mon épée et repris ma marche. Je levais les yeux au ciel, la lune n’avait toujours pas réapparut. Après quelques mettre parcouru, de nouveau ce bruit je ne pouvais l’identifier tellement il ne ressemblais à aucun bruit que je n’avais entendu jusqu’à lors. Je ne pouvais l’identifier mais je savais maintenant d’où il provenais : à droite du sentier sur lequel je me trouvais, dans la forêt. Je marchais dans le noir ne voyant pas ou je m’étais mes pieds, j’avais maintenant parcouru plusieurs centaines de mètres dans cette forêt, lorsque tout à coup une voie me glaça le sang.
Une voie qui semblait ne venir de nul part. Une voie terrifiante ne ressemblant ni à celle d’un homme ni à celle d’une femme. Je sentais une présence près de moi, lorsque apparut devant mes yeux cette créature, elle était là, à quelques pas de moi. Je ne pouvais la qualifier à ce moment précis, mais aujourd’hui je dirais que c’était un esprit venu pour me guider. Il me parlait. Au début je pensais devenir fou, mais non c’était bien réel. Il me dit ces quelques mots : le tombeau, qui sur le corps se referme ouvre le firmament, et que ce qu’ici bas vous prenez pour le terme n’est que le commencement. La mort est votre destinée commune. Les richesses matérielles s’acquièrent et se perdent. Quand tu abandonneras ton corps mortel, tu t’élèveras dans l’éther, et cessant d’être mortel, tu revêtiras toi-même la forme d’un dieu immortel. Vas Diemfou, vas libérer les êtres de cette terre pour leur offrir ce dont tu as la connaissance. Pour accomplir ta mission suis ce symbole (symbole de la légion noir) il te mènera à ceux dont tu auras besoin. Sur ces mots, je tombai raide sur le sol et ne me réveilla que quelques heures plus tard avec deux envies : trouver ce symbole et tuer. Je levais les yeux au ciel, la lune avait réapparut.



ps: le BG de Siliwen est a venir

La petite avait grandie. Son éducation ne fût pas facile tous les jours pour le pauvre homme que je suis. Je la revoie partir, le jour de ses 19 printemps, folle de rage contre moi. Nous avions eu une discution sur moi, sur mon passé, sur ce que j'étais avant de devenir ce qu'elle appelait le vieux légionnaire fou. Quand j'y repense aujourd'hui, je me dit que je suis heureux de l'avoir pour fille.
Je la l'entend encore me dire :

Papa, pourquoi tu fais ça? Tu penses que c'est bien ce que nous faisons?

J'avais beau lui répondre ma traditionnelle répartit qui lui disait que la réponse à cette question n'était qu'une question de point de vue selon les objectifs que chacun se fixe et des idées qu'il défend. Ce jour ou elle aurait du être la plus heureuse des jeunes Sharesse, elle me regardais, là, les yeux rempli de larmes qui coulaient le long de ses joues teintés par les rayons du soleil. Je les revoyais chaques jours ses yeux clairs rougis par la tristesse.

Regarde ce que nous faisont!! Tous ces morts que nous laissons derrière nous, pourquoi? Moi je n'ai jamais voulu tout ça! Je l'ai fait parcequ'on me le demandait, parceque j'ai suivis TES choix! C'est toi qui a choisis tout ça, je ne suis ici que parceque tu m'as sauvé de la même mort que ceux de ma véritable famille. Je devrais être contre toi!

Ces mots retentir à jamais dans me tête. Elle m'avait pour la première fois de mon éxistence mis la réalité en pleine figure. Comment pouvait-elle me dire tout ça après tout ce que j'avais fait pour elle. Je la vis partir en courant hors du fort de notre Légion.
Je sella ma monture, pris mon vieu baton et parti a mon tour réfléchir allongé dans les collines d'Avalon.
Je réfléchissais seul dans mes pensés:

Elle avait peut-etre raison. Siliwen n'est ici que parceque je l'y est emmené. Ce ne sont pas ses propres convictions mais les miennes que je lui demande de défendre, pas étonnant que sa vrai nature reprenne le dessus. Ma vrai nature moi je l'ai oublié il y'a bien longtemps cette nuit de pleine lune. Peut-etre devrais-je réfléchir encore. Si je prenais cette décision je signerais mon arrêt de mort auprès de la Légion car on ne quitte pas la Légion. Et si Siliwen partait?! Elle aussi serait en danger! Je ne peux pas la laisser partir, il faut que je la retienne! Absolument!

J'atendais ma fille assis autour de notre table qui a vue bon nombre de nos festins. Cela faisait quelques heures que j'atendais là, patiemment que ma fille rentre lorque le grincement de notre porte se fît entendre.

Assied toi Siliwen s'il te plait!
J'ai pas le temps j'ai mes affaires a préparer
T'es affaires? Pour faire quoi?Pour rejoindre celui que j'ai toujours considéré comme mon p'tit frère!
Ne me dis pas que tu vois encore ce déserteur qui c'est réfugié auprès des pauvres moines???
Et bein si!! Ca te pose un problème?
Tu es au courant des mesures que la Légion va prendre envers toi?
Oui je suis au courant et figure toi que je préfère mourir en sauvant mon honneur et par la même occasion mon âme
Arrêtes! tu ne sais pas ce que tu racontes!
Oh si je sais! Et je sais aussi que tu devrais venir avec moi!
Je peux pas te laisser faire ça, tu es tout ce qu'il me reste.
Tout ce qu'il te reste?? Alors suis moi! A moin sque tu préfères rester avec ces meurtriers!

Elle me poussa d'un geste brusque et déterminé. Sa force dépassait de loin la mienne et celle de beaucoup d'autre, il ne fallait jamais la sous-estimer. Elle prit ses affaires et sortis. Je croyais que ce serait la dernière fois que je la verrais. Tout ce que j'avais accomplis n'avait plus aucun sens sans ma fille, elle était le pourquoi de ma vie et il à fallu qu'elle parte pour que je le comprenne.

Les jours passèrent, la légion ne voulais plus rien dire pour moi. Chaque seconde de mon éxistence je la consacrai a penser à ma fille, elle n'est plus là. Que fait-elle? Avec qui est-elle? est-elle heureuse? J'espère qu'elle ne manque de rien.

Quelques mois plus tard...

Siliwen avait rejoint son p'tit fère comme elle aimait l'appeler. Ils passèrent beaucoup de temps ensemble ainsi qu'avec ceux qui étaient désormais sa nouvelle famille : Le cercle des moines.

Un jour de printemps son frère l'appela:

Siliwen! Cria-t'il
Oui bad?
Je crois qu'il y'a une personne qui souhaite te voir!
Qui est-ce?[/color]
Ca je te le laisse le découvrir répondit badluke avec son beau sourire.

Siliwen s'approchait de son destinataire qui l'atendais apuyé contre un arbre le dos tourné un baton dans la main. Cette silhouette elle l'a reconnaîtrai entre mille.
L'homme se retournant :

Bonjour Siliwen...[/color]
Père!!dit Siliwen avec stupeur, qu'est ce que tu fais ici?
Et bien j'ai décidé de suivre tes décisions maintenant. Tu m'as suivit durant toutes ces années alors j'ai réfléchis et j'ai décidé que je devais venir te rejoindre pour a mon tour suivre tes choix!

Le sourire de Siliwen s'ilumina comme jamais au paravant et comme il aurait du s'illuminer le jour de ses 19ans. Elle prit très fort dans ses bras tout en pleurant de joie:

Je le savais que tu viendrais! Je savais que tu ne m'abandonnerai pas, que tu ne me laisserai pas toute seul.

S'en suivire une longue discution pour ratraper les semaines perdues. Puis le temps fît son oeuvre, leur vie avait changé et pour de bon.

Voila j'ai pas refais une lecture pour les fautes donc si y'en a (et je suis sur qu'il y'en a plein ) et bien n'hésitez pas a me les dire car vu que j'en fait pas mal j'aime bien savoir ou, à la fac les profs les corrigent plus donc je sais plus les coriger

Sinon ça va ça se tient a peu près? hésitez pas a être méchant c'est comme ça qu'on progresse