Posted: 11 May 2006, 21:10
Une feuille qui flotte au vent... quelque part dans le Fort de Midgard. Quelques lignes y sont tracées, d'une écriture malaisée.
Vous teniez son monde au bout de vos doigts,
L'avez arraché et mise aux abois.
Deux morceaux de l'âme à jamais perdus.
Deux faces d'une même pièce qui ne se verront plus.
Et la Valkyne pleure.
Vous aviez en vous sa confiance placée,
L'avez rejetée et même oubliée.
Deux cristaux coupants qui lacèrent sa vie.
Deux esprits partis et un seul trahi.
Et la Valkyne pleure.
Vous étiez pour elle soleils acceptés,
Cessant de briller l'avez condamnée.
Deux perles d'espoir gisant dans le noir.
Deux fleuves d'amitié où l'on ne plus boire.
Et la Valkyne pleure.
Vous êtes à présent fantômes de fiel,
Ecorchant son âme, arrachant ses ailes.
Hayt, spectre de tristes promesses passées,
Adetrem, ombre morte et effacée.
Et la Valkyne meure.
Vous teniez son monde au bout de vos doigts,
L'avez arraché et mise aux abois.
Deux morceaux de l'âme à jamais perdus.
Deux faces d'une même pièce qui ne se verront plus.
Et la Valkyne pleure.
Vous aviez en vous sa confiance placée,
L'avez rejetée et même oubliée.
Deux cristaux coupants qui lacèrent sa vie.
Deux esprits partis et un seul trahi.
Et la Valkyne pleure.
Vous étiez pour elle soleils acceptés,
Cessant de briller l'avez condamnée.
Deux perles d'espoir gisant dans le noir.
Deux fleuves d'amitié où l'on ne plus boire.
Et la Valkyne pleure.
Vous êtes à présent fantômes de fiel,
Ecorchant son âme, arrachant ses ailes.
Hayt, spectre de tristes promesses passées,
Adetrem, ombre morte et effacée.
Et la Valkyne meure.